Interview d’un assistant de vol sur hélicoptère du Samu de Rouen
1er juin 2016, 13:33, par Kerbrat
Et non !
Car heureusement pour être mono-pilote de SAMU les prés requis sont exigeants surtout de nuit.
Çà nécessite un minimum d’ancienneté et d’expérience professionnelle et çà ne s’improvise ni se décrète sur un coin de table un mois avant.
On ne peut pas remplacer le pilote car ce qu’apporte les automatismes de l’avionique, ce sont des aides qui permettent de s’inscrire dans des régimes de vol différents et ou des environnement plus contraint avec un seul pilote à bord.
Ajoutons aussi que la responsabilité complète du vol en matière de sécurité incombe non pas, à l’assistant de vol, mais complètement au commandant de bord ! C’est ainsi.
Quant au personnel médical qui habitué depuis des lustres à travailler avec le pilote, cette mesure à le défaut en quelque sorte de couper le lien qui existait !
Cette mauvaise solution n’apporte pas de plus-valu sécuritaire alors que l’argument très souvent mise en avant pour en justifier la mesure.
Celle qui devrait nous interpeller le plus c’est celle du patient !
Notons également que l’exigence réglementaire et l’autorité aéronautique permet tout a fait de faire des vols HéliSmur sans assistant de vol.
Et non !
Car heureusement pour être mono-pilote de SAMU les prés requis sont exigeants surtout de nuit.
Çà nécessite un minimum d’ancienneté et d’expérience professionnelle et çà ne s’improvise ni se décrète sur un coin de table un mois avant.
On ne peut pas remplacer le pilote car ce qu’apporte les automatismes de l’avionique, ce sont des aides qui permettent de s’inscrire dans des régimes de vol différents et ou des environnement plus contraint avec un seul pilote à bord.
Ajoutons aussi que la responsabilité complète du vol en matière de sécurité incombe non pas, à l’assistant de vol, mais complètement au commandant de bord ! C’est ainsi.
Quant au personnel médical qui habitué depuis des lustres à travailler avec le pilote, cette mesure à le défaut en quelque sorte de couper le lien qui existait !
Cette mauvaise solution n’apporte pas de plus-valu sécuritaire alors que l’argument très souvent mise en avant pour en justifier la mesure.
Celle qui devrait nous interpeller le plus c’est celle du patient !
Notons également que l’exigence réglementaire et l’autorité aéronautique permet tout a fait de faire des vols HéliSmur sans assistant de vol.