Deux réflexions s’imposent concernant l’hommage à “Nono” :
La première s’adresse à nos rédacteurs, Jean-Marie et Francis qui ont brossé le portrait excellent d’un métier d’exception dont la quintessence peut se comparer à celle d’un “Maître Luthier“ fabriquant l’instrument merveilleux que va exploiter au mieux l’artiste utilisateur.
La seconde, à l’encontre de notre compagnon de route au parcours atypique semé d’embuches.
Noël possède les qualités professionnelles et humaines nécessaires pour s’épanouir dans le cadre qu’il a choisi. En cette fin d’année 91, il est frappé cruellement dans sa chair, lors du crash le pilote est tué sur le coup, lui en réchappe, à quel prix, opération, rééducation physique et morale.
Sa force, l’amour du métier, il se bat pour vaincre la peur, l’appréhension, là où bien d’autres auraient baissé les bras, démissionné, il regagne sa place et sa qualification.
Combat gagné au point, sur l’adversité, sur lui-même, grâce à l’amour de la montagne et de ce fabuleux métier d’Aéronautique.
La valeur de l’homme a été reconnue par une batterie d’insignes et décorations, mais je crois comme la majorité d’entre nous “montagnards et aviateurs”, l’insigne du Secours en Montagne et la Médaille de l’Aéronautique peuvent être considérés comme le “Graal” (clin d’œil à notre direction).
Deux réflexions s’imposent concernant l’hommage à “Nono” :
La première s’adresse à nos rédacteurs, Jean-Marie et Francis qui ont brossé le portrait excellent d’un métier d’exception dont la quintessence peut se comparer à celle d’un “Maître Luthier“ fabriquant l’instrument merveilleux que va exploiter au mieux l’artiste utilisateur.
La seconde, à l’encontre de notre compagnon de route au parcours atypique semé d’embuches.
Noël possède les qualités professionnelles et humaines nécessaires pour s’épanouir dans le cadre qu’il a choisi. En cette fin d’année 91, il est frappé cruellement dans sa chair, lors du crash le pilote est tué sur le coup, lui en réchappe, à quel prix, opération, rééducation physique et morale.
Sa force, l’amour du métier, il se bat pour vaincre la peur, l’appréhension, là où bien d’autres auraient baissé les bras, démissionné, il regagne sa place et sa qualification.
Combat gagné au point, sur l’adversité, sur lui-même, grâce à l’amour de la montagne et de ce fabuleux métier d’Aéronautique.
La valeur de l’homme a été reconnue par une batterie d’insignes et décorations, mais je crois comme la majorité d’entre nous “montagnards et aviateurs”, l’insigne du Secours en Montagne et la Médaille de l’Aéronautique peuvent être considérés comme le “Graal” (clin d’œil à notre direction).
Longue route mon ami !
Marc