Tours : un nouvel hélicoptère pour la gendarmerie

mardi 18 mars 2014

Un des six pilotes de la SAG de Tours - Photo lanouvellerepublique.frLa section aérienne de la gendarmerie de Tours vient d’être dotée d’un nouvel hélicoptère pour assurer ses missions quotidiennes. Les pilotes et mécaniciens sont de permanence sept jours sur sept pour répondre aux appels des unités de police ou de gendarmerie. L’hélicoptère (EC 135 T2+ F-MJDH) intervient notamment dans les recherches de personnes disparues et de malfaiteurs.

Interviewé : Le capitaine Augustin de Kergorlay, commandant de la Section aérienne de Gendarmerie de Tours.


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19/03/2014 - Un nouvel hélicoptère pour la section aérienne
Le nouvel hélicoptère de la gendarmerie est équipé d'un système de pilotage automatique. - Photo NR, Patrice DeschampsRecherche de personnes disparues, traque de malfaiteurs en fuite… Les hélicoptères de la gendarmerie sont utilisés pour des missions très délicates.

Sur la base aérienne 705 de Tours, la section aérienne de la gendarmerie est un bâtiment simple et discret. Mais il abrite sur ce site militaire une unité de gendarmerie pas comme les autres : la section aérienne.
Au rez-de-chaussée, dans un grand hangar, les deux hélicoptères de la SAG attendent le signal pour décoller. L’un des deux est un Écureuil, l’autre un tout nouvel EC 135 fabriqué par la firme Eurocopter. L’appareil flambant neuf vient d’effectuer ses premières missions et fait déjà l’unanimité parmi les pilotes de la section aérienne de la gendarmerie.

" Recherche de personnes disparues "
Équipé de deux moteurs, d’écrans numériques, d’une caméra thermique et d’un pilote automatique, il permet aux gendarmes de disposer de tous les moyens modernes.
« Surtout, l’appareil est capable de faire des figures tout seul, explique le capitaine de Kergorlay, commandant de la SAG. Grâce à ses fonctions de pilotage automatique, les pilotes peuvent se concentrer sur leur mission de recherche. »
De permanence sept jours sur sept, 24 heures sur 24 : la section aérienne doit, en effet, pouvoir à tout moment répondre à une sollicitation des unités de gendarmerie mais aussi de police ou de la SNCF.
« Nous effectuons beaucoup de missions de recherche de personnes disparues, poursuit le capitaine de Kergorlay. Mais aussi des recherches de malfaiteurs en fuite. Quand nous avons repéré l’individu, nous renseignons les personnels au sol pour leur permettre de l’interpeller. Nous travaillons aussi à la demande de la SNCF pour sécuriser les voies contre les vols de cuivre. »
La caméra thermique embarquée à bord permet même de détecter des cultures suspectes de cannabis.
La section aérienne compte aujourd’hui six pilotes, six mécaniciens et deux opérateurs radios. (...) Lire la suite sur lanouvellerepublique.fr

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