CORTINA (23 août) - La montagne a été leur grande passion, que chacun joue avec son propre caractère, même quand nous sommes allés avec la hache et crampons, pas par voie aérienne pour sauver ceux qui avait perdu son chemin. La montagne a trahis dans la dimension dans laquelle les forces de sauvetage de surmonter les canyons avec un fragile, apparemment efficaces mécaniquement. Maintenant, le A109 est le Suem un cercueil sur la rive de la Gère de Rio, avec de l’eau la couleur de boue coulant entre Faloria et Crystal. Pilote Dario De Filip, aide-conducteur Marco Zago, le secours en montagne technicien boulangerie Stephen et le médecin Fabrizio Spaziani restent seules photos qui dépeignent les pics perloppiù. Non seulement les Dolomites, mais huit mille dans le monde.
Pas voler en hélicoptère sur les sommets, sinon vous aime viscéralement ce milieu rude, la beauté à couper le souffle que Dieu a créé pour tester la force et la faiblesse de l’homme. Ils faisaient ce qu’ils ont commis chaque jour, l’inspection d’un glissement de terrain, également requis pour la présence d’une voiture abandonnée. Ils ont consacré leur vie à cela, qui sait combien de personnes ont sauvé leur vie, comme cette famille de Matera, le père, la mère et ses deux enfants retrouvés dans la mi-août alors qu’ils étaient en détresse évidente. Ils seront appelés des héros, des anges, des pics, des secouristes capables de sacrifice extrême. Ils étaient des professionnels, dans les montagnes et en vol. Mais leurs vies racontent en particulier leur humanité. Simple, attachée aux valeurs de base. Capable de grandes passions et des gestes audacieux. Les membres de famille ont été enfermés dans des maisons, en pleurs. Amis se sont réunis à l’hôpital de Pieve di Cadore, où il a quitté le dernier vol. Il ya peu de désir de parler et de dire. Fabrizio Spaziani, 46 ans, était un médecin, mais aussi un alpiniste expérimenté. Et la recherche en haute altitude, avait fait une spécialité. En avril, s’était précipitée dans les Abruzzes, afin de coordonner la première intervention Suem de Belluno. La réputation qu’il avait d’avoir fait partie de l’expédition des écureuils dans Cortina, qui a donné l’assaut sur le K2 dans le cinquantième anniversaire de la conquête par Lacedelli. Il s’agissait d’une organisation de référence, la spécialisation et la gestion des interventions dans les situations d’urgence.
Le pilote Dario De Filip, 49 ans, marié, Pieve d’Alpago, est venu de les pompiers. A ensuite été transmis à Elidolomiti, la société qui, jusqu’à il ya quelques années a géré les secours dans Belluno. Elifriulia avait également travaillé pour une entreprise qui exploite similaires dans les montagnes du Frioul. Une grande expérience, une excellente préparation pour les travaux dans les montagnes. Il quitte sa femme et ses deux filles.
Marco Zago, 42 ans, de Belluno, technicien en aéronautique et membre des secours en montagne, avait été recruté Elidolomiti. N’est pas seulement l’équipage de conduite, où ses spécialités sont les interventions avec les treuils, d’effectuer des brancards et des blessés, mais il était également un bon grimpeur (il avait gravi en Patagonie). Il était marié à Barbara, qui travaille comme enseignant, avait un fils qui a effectué durer treize ans. Le garçon se trouvait à un camp d’été à Val Visdende où la mère et l’oncle ont à lui dire que papa était parti, il est mort dans la ligne du devoir. En deux jours, a terminé le virage, il a terminé son service avec l’hélicoptère INAER (propriétaire de l’hélicoptère Suem), passer à une autre entreprise.
Stefano Da Forno, 40 ans, originaire de Pozzale, technicien d’hélicoptère et membre du Secours Alpin de Feltre, était un montagnard qui avait rassemblé quelques entreprises, telles que l’Aconcagua et McKinley. Avant l’assaut de ce deuxième sommet, a été bloqué pendant dix jours entre les tempêtes de neige. Il n’était pas marié et a eu un secours en montagne dans le sang, car il était devenu une raison de vivre, de sorte que transformé en une formation régionale parfait pour d’autres techniciens.
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Texte original
CORTINA (23 agosto) - La montagna era la loro grande passione, che ciascuno interpretava con il proprio carattere anche quando ci andava con picozze e ramponi, non per aria a salvare chi si era smarrito. La montagna li ha traditi nella dimensione in cui il soccorso costringe a superare i canaloni con un fragile, in apparenza efficiente mezzo meccanico. Adesso l’A109 del Suem è una bara sul greto del Rio Gere, con l’acqua del colore di fango che scorre tra Faloria e Cristallo. Del pilota Dario De Filip, dell’assistente pilota Marco Zago, del tecnico del soccorso alpino Stefano Da Forno e del medico Fabrizio Spaziani rimangono solo le foto che li ritraggono perloppiù sulle vette. Non solo le Dolomiti, ma anche gli Ottomila del mondo.
Non si vola con l’elicottero sopra le cime, se non si ama visceralmente quell’ambiente aspro, di bellezza vertiginosa che Iddio ha creato per mettere alla prova forza e debolezza dell’uomo. Stavano facendo quello che ogni giorno li impegnava, un’ispezione sopra una frana, richiesta anche per la presenza di un’auto abbandonata. Avevano dedicato la loro vita a tutto questo, chissà quante persone hanno salvato nella loro vita, come quella famiglia di Matera, padre, madre e due bambini, recuperati a Ferragosto mentre erano in evidente difficoltà. Li chiameranno eroi, angeli delle vette, salvatori capaci del sacrificio estremo. Erano dei professionisti, in montagna e nel volo. Ma le loro esistenze raccontano soprattutto la loro umanità. Semplice, attaccata ai valori essenziali. Capace di grandi passioni e di gesti coraggiosi. I familiari si sono chiusi nelle case, a piangere. Gli amici si sono raccolti all’ospedale di Pieve di Cadore, da dove è partito l’ultimo volo. C’è poca voglia di parlare e di raccontare. Fabrizio Spaziani, 46 anni, era un medico, ma anche un esperto alpinista. E delle ricerche in alta quota aveva fatto una specialità. Ad aprile si era precipitato in Abruzzo, a coordinare il primo intervento del Suem di Belluno. La notorietà l’ha avuta per aver fatto parte della spedizione degli Scoiattoli di Cortina che diede l’assalto al K2 nel cinquantesimo anniversario della conquista da parte di Lacedelli. Era un punto di riferimento nell’organizzazione, nella specializzazione e nella gestione degli interventi in situazioni di emergenza.
Il pilota Dario De Filip, 49 anni, sposato, di Pieve d’Alpago, proveniva dai vigili del fuoco. Era poi passato a Elidolomiti, la società che fino a qualche anno fa gestiva i soccorsi nel Bellunese. Aveva lavorato anche per Elifriulia, una società analoga che opera sulle montagne friulane. Grande esperienza, grande preparazione per il lavoro in montagna. Lascia la moglie e due figlie.
Marco Zago, 42 anni, di Belluno, tecnico aeronautico e componente del Soccorso Alpino, era stato assunto in Elidolomiti. Non si occupava solo di volo, dove la sua specialità erano gli interventi con i verricelli, per trasportare barelle e feriti, ma era anche un ottimo alpinista (aveva arrampicato anche in Patagonia). Era sposato con Barbara, che fa la maestra, aveva un figlio che ieri compiva tredici anni. Il ragazzo era ad un campo estivo in Val Visdende dove la mamma e lo zio sono andati per dirgli che papà non c’era più, è morto nell’adempimento del dovere. Tra due giorni, terminato il turno, avrebbe finito il servizio in elicottero con la Inaer (che è proprietaria dell’elicottero del Suem), per passare a un’altra ditta.
Stefano Da Forno, 40 anni, originario di Pozzale, tecnico di elisoccorso e componente del Soccorso Alpino di Feltre, era un alpinista che aveva collezionato alcune imprese, come l’Aconcagua e il McKinley. Prima di dare l’assalto a questa seconda vetta, rimase bloccato per dieci giorni tra bufere di neve. Non era sposato e aveva il soccorso alpino nel sangue, per lui era diventato una ragione di vita, al punto che si era trasformato in un perfetto addestratore regionale per altri tecnici. source