Chamonix Mont-Blanc Hélicoptères, une entreprise familiale, 25 ans de vols. (Le film)

mercredi 24 mai 2017

Le Pitch
1992 voit la naissance d’une entreprise familiale d’exploitation d’hélicoptères. 25 années plus tard, qu’est elle devenue ?

Présentation du projet
Visuel © Tommy BrunDans le cadre du vingt-cinquième prochain anniversaire de la société Chamonix Mont-Blanc Hélicoptères, j’ai à cœur de réaliser ce documentaire sur l’histoire de cette entreprise avec laquelle j’ai grandi dès l’âge de mes deux ans.

Nous tournerons ce film durant l’été et l’automne 2017.
Sortie et diffusion sont prévues pour la fin d’année 2017. Ce documentaire, qui sera en libre accès sur Internet, durera entre 50 et 90 minutes.

Pour sa réalisation, nous avons besoin d’entre 15 100 et 30 600 euros.

CHAMONIX MONT BLANC HÉLICOPTÈRES
Depuis sa création le 26 mai 1992, Chamonix Mont-Blanc Hélicoptères c’est :
300 mois
1 336 semaines
9 351 jours
224 424 heures
13 465 440 minutes
807 926 400 secondes

Le cœur humain battant en moyenne 70 fois par minutes, en 25 ans de CMBH, le cœur de chacun d’entre nous a battu 942 580 800 fois.
Ce nombre multiplié par l’ensemble des personnes aimant notre société, représente au final autant de battements de cœur qu’il y a d’étoiles dans notre système solaire.

Et vous, votre cœur bat-il pour Chamonix Mont-Blanc Hélicoptères ?

Le film
Visuel © Tommy BrunNé le 22 avril 1990, j’ai seulement 2 années 1 mois et 5 jours d’écart avec cette entreprise familiale.
De fait, cette société je la connais depuis ses débuts.
Elle a évolué en même temps que j’évoluais. Nous avons grandi ensemble et c’est la raison qui me pousse à vous raconter son histoire !
Je pourrais vous narrer les nombreuses heures de vol ou l’intégralité des missions que nous avons réalisées, mais j’en ferai tout autrement.
Le but de ce film est de vous faire découvrir qui sont les acteurs qui ont œuvré pour créer et faire vivre cette société.
De vous faire partager ces paysages exceptionnels dans lesquels nous évoluons et vous expliquer pourquoi ils font la complexité de notre entreprise.
De vous montrer la diversité de nos missions, mais aussi lesquelles font parties de nos « faits d’armes ».
Vous amener à la rencontre de nos clients et de leur donner la parole afin qu’ils vous racontent leurs expériences avec Chamonix Mont-Blanc Hélicoptères.
Mais aussi vous expliquer avec quels outils et moyens nous réalisons nos missions, même les plus complexes.

Ce film, je ne le veux pas à la gloire de CMBH mais à celle de ces personnes qui, souvent dans l’ombre, ont fait évoluer cette entreprise, afin qu’elle puisse avoir la réussite qu’on lui connaît…

Pour ce faire, j’ai besoin de vous, car seul, je n’aurai jamais les moyens de le réaliser.
Il est évident que chaque donateur recevra une contrepartie à la hauteur de son don.

Les contreparties sont les suivantes* :
De 1 à 9€ : votre nom aux remerciements du générique.
De 10 à 29€ : une carte de remerciement.
De 30 à 49€ : le livre technique qui nous servira à réaliser le film.
De 50 à 69€ : l’affiche du film.
De 70 à 89€ : DVD du film comprenant des bonus inédits.
De 90 à 109€ : photos uniques, prises par l’un de nos photographes (limitées à 100 exemplaires).
A partir de 110€ et plus : le livre racontant l’aventure du tournage (limité à 50 exemplaires).

Pour les 3 plus généreux donateurs, chacun aura droit à une journée avec l’équipe où il pourra voler en double commande pendant 30 min.

Si le budget maximum est largement dépassé, des contreparties bonus seront envoyées à chacun d’entre vous.

*les contreparties fonctionnent par cumul, et sont détaillées plus bas.

Un film : trois versions imaginées
Le but de ce film pour moi est double.

Même si le fond est de raconter l’histoire de CMBH, la forme, quant à elle, est de donner un second souffle, un nouveau rythme aux films sur l’aviation.
Ce film, je le veux à l’image des films de glisse ! Je le veux à l’image de certains « grands » films documentaires.
Pour sa réalisation je compte utiliser de nouveaux moyens, je veux y inclure des plans stables, lisses, comme si vous regardiez par une fenêtre.
Vous inviter au cœur de l’action, au milieu des employés de l’entreprise, en plein travail afin de vous plonger au centre de nos missions comme si vous y étiez.
Filmer des plans avec des angles de vue différents, vous montrer de nouvelles dimensions de notre métier.

J’ai écrit le film autour des axes et points suivants :
 La situation géographique et ses besoins
 L’histoire des membres de l’entreprise
 L’histoire de l’entreprise
 Le métier propre à CMBH
 Les outils utilisés pour ces missions
 La réputation de l’entreprise au fil des années
 Le regard extérieur, d’autres professionnels sur CMBH.

C’est à partir de cette trame de fond, de ces pistes à explorer que j’ai écrit le film, le plus complet, artistique et personnel, possible.

Mais même si avec le numérique tout est possible, il faut malgré tout avoir le budget qui suive et c’est pour cette raison que ce film, tributaire de son financement, possède trois écritures différentes.

La première, qui est la plus basique est un mélange de photos d’archives, d’images « actuelles » expliquant le métier si spécifique qu’exerce CMBH dans le milieu de l’hélicoptère, le tout sur une bande-son endiablée afin de rythmer les différentes séquences.
Des interviews de différents intervenants, clients, membres actuels, ou passés, de l’entreprise et des professionnels du monde de l’aviation viennent avec leurs mots, donner de l’ampleur au récit, déjà approfondit par une voix off.
Des time-lapse en guise de transition vous émerveilleront tout en séparant les différents points du récit.
Et des témoignages d’amoureux de notre entreprise, de sa situation géographique et de son métier viendront étayer la force du récit.

La deuxième version, qui tend plus vers « les origines » et les différentes époques de la société, comprend en plus des éléments de la première version, des séquences d’archives, tels que le lama œuvrant au milieu des montagnes, ou, de nos différents écureuils volant au-dessus de la vallée.
Ce film étant tourné en 4K Ultra HD, nous avons besoin du matériel nécessaire afin de redonner à d’anciennes images une seconde jeunesse et les intégrer dans le film sans que vous vous en aperceviez.

La troisième version est celle qui veut le plus « casser les codes » du film aéronautique.
Afin d’ouvrir le récit à une dimension inédite pour ce genre de production, elle comprend, en plus des éléments des versions précédentes, des time-lapse et travelling encore plus complexes ; ce qui demande du matériel spécifique.
Cette version, c’est celle que j’ai le plus à cœur de réaliser.
C’est celle qui me ressemble le plus, celle qui travaille le plus, à la fois mon âme, mais aussi ma fibre artistique.

Avec la fougue et l’envie que la nouvelle génération dont je fais partie représente, ne voulez-vous pas regarder avec un regard neuf, un film sur ce monde si passionnant qu’est l’aviation ?

Pour vous aider, voici quelques références qui ont aiguillé mon écriture et imagination :
 Riding Giant / Dogtown and the Z-Boys de Stacy Peralta
 The art of flight / That’s it, That’s all de Curt Morgan et Travis Rice
 La vida Loca de Christian Poveda
 Into the wild de Sean Penn
 The Revenant d’Alejandro González Iñárritu
 Les vidéos YouTube de Devin Supertramp.

Lorsque l’on fait les choses avec amour et passion, elles sont toujours plus belles.

L’équipe du film

Tommy Brun (cinéaste)
Dès ma naissance, alors que je devenais Chamoniard, je tombais aussi dans cette "marmite" que représente l’aviation.
Dès lors, je partageais le rêve d’Icare, de voler de mes "propres ailes". Rêve devenu réalité pour mon plus grand bonheur.
Mon enfance entre ces montagnes m’entourant et les cieux les surplombant a été une suite de vols au milieu des nuages mais aussi de jeux entre le sens des mots et mon imagination, afin, de créer au fil de ma plume des histoires qui m’amusaient.
J’ai su me divertir, créant des récits comme certains créent des valses, jusqu’à cet instant, ou, devant mes yeux, elles se sont mises en images.
Depuis, la passion de ces images animées, de ces récits endiablés qui font le cinéma ne me quitte plus.
Si bien que j’en ai perdu le "don" de coucher des histoires sur le papier au profit de les graver sur pellicules...
Plus tard, j’aimerais être de ces hommes, qui vivent, rêvent et partagent chaque instant, "brûlés" par une envie d’accrocher ce qu’ils ont sur le cœur au fil de l’éternité.

Liens vers mes travaux :
www.youtube.com/user/studiodreamsfactory/videos
www.vimeo.com/bruntommy/videos

Quentin Iglésis (photographe)
Né à Chamonix-Mont-Blanc, d’une mère pratiquant la montagne et d’un père guide-secouriste, je pratique les sports de montagne depuis mon enfance, ski de randonnée, escalade, trail, ski de fond, alpinisme…
La photographie me fascine depuis toujours. Lors de mon séjour de trois ans sur l’île de la Réunion, une approche différente avec de nouveaux paysages a été le déclic. Un retour en métropole et la redécouverte des montagnes sous un autre angle, une passion qui me permet de raconter une histoire et partager ces expériences. Puis, appuyé par mes proches, amis et professionnels de la photo, je me suis lancé vers ce métier qui offre chaque jour de nouvelles perspectives.
Expériences précieuses pour un travail toujours plus affiné et réfléchi, tout en gardant cette approche innovante offerte par la photographie et un esthétisme propre à mon œil.

Liens vers les travaux de Quentin :
http://quentin-iglesis.com
https://feelpic.com/collections/photographe-quentin-iglesis/

Antoine Vuillemin (photographe)
J’habite dans la vallée de Chamonix depuis maintenant 5 années .
J’ai alors sérieusement débuté la photographie, ébloui du spectacle qui s’offrait à moi chaque jour.
Passionné de montagne depuis toujours, ce qui m’intéresse aujourd’hui c’est de la montrer sous un autre angle.
Associer jeu d’ombres et de lumières, qui me servent de guides, permettant des photographies graphiques et structurées, romantiques et pures.
J’essaie donc de réaliser des projets simples et stylisés qui témoignent de mon âme curieuse et sensible, dans ces paysages sans cesse changeants, que j’exploite avec un œil toujours aussi sensible et émerveillé.
Associer l’image et l’inattendu, créer un monde où tout paraît réel, mais peut être à la fois irréel, voilà ma motivation aujourd’hui.
Fort de ma première exposition qui a eu lieu dans un magasin de Chamonix j’aimerai pouvoir continuer à montrer mes projets, dans la vallée, et à plus grande échelle !

Lien vers les travaux d’Antoine :
www.instagram.com/eltonito/

Julie Jeanroy (journaliste)
« Quand je serai grande, je veux être journaliste ». C’est la phrase que je me souviens répondre quand on me demandait ce que je voulais faire comme métier quand j’étais petite.
D’aussi loin que je me souvienne j’ai toujours écrit et aimé ça.
Au collège, j’écrivais des nouvelles prenant pour beaucoup place dans des villes ou des endroits qui m’étaient inconnus, mais que je rêvais secrètement de visiter. Certaines se passaient aussi au milieu de mes montagnes natales ; je viens de Passy. J’ai toujours aimé raconter des histoires, mais aussi et peut-être même surtout écouter les histoires des personnes que je rencontre.
Ma passion m’a amené à travailler, depuis janvier pour le Dauphiné Libéré à Chamonix avant de reprendre en septembre mes études pour vraiment devenir journaliste. Ce qui me plait dans ce métier c’est de rencontrer toujours de nouvelles personnes qui partagent avec moi un bout de leur vie, de leur histoire…

Vous
Vous êtes passionné d’aviation, de montagne, de Chamonix ?
Vous êtes un « fan » de Chamonix Mont-Blanc Hélicoptères ?
Vous êtes un de nos amis, de nos clients ?
Vous êtes un amoureux des belles histoires, de cinéma et de documentaires pleins de vie ?
Vous êtes un bienfaiteur intéressé par le projet ?

Sachez que vous pouvez prendre part à cette aventure et devenir l’un des membres de notre petite équipe afin de la faire monter en puissance et lui apporter sa réussite !

Sans vous, ce projet est difficilement réalisable.

En finançant ce film, vous ne serez pas seulement un bienfaiteur, mais deviendrez vraiment un membre à part entière de l’équipe.
En effet, c’est votre soutien qui nous aidera à raconter cette histoire, car chacun d’entre vous qui donnera, ne serait-ce qu’un peu, nous apportera beaucoup, et verra ainsi son nom inscrit au générique.

Mais comment aller encore plus loin et vous compter dans les « figures » de ce film ?
Tout simplement, en plus de votre aide financière, aidez-nous avec votre cœur, n’hésitez pas à filmer une séquence de quelques secondes, dites-nous en quelques mots pourquoi vous aimez CMBH et nous vous inclurons dans un premier temps sur le blog et la page Facebook créée pour le film. Puis dans un second temps, nous vous mettrons dans le film.

Prenez part à l’équipe. Elle n’attend plus que vous !

Le matériel
L’arrivée de l’électronique et du numérique permet une plus grande facilité, tant pour la photo que pour la vidéo.
On peut dorénavant filmer à moindre coût, chose qui n’est pas possible avec une caméra pellicule.
La liberté de création est bien supérieure, car le faible encombrement des divers moyens de filmer, notamment les appareils photo, permet à la fois des angles inédits, mais aussi d’accéder à des endroits impossibles avant.

Mais même si la flexibilité et les coûts réduits sont un avantage, il n’en demeure pas moins que le principal problème du numérique est le stockage des rushs et le poids des fichiers, provoquant dans les différents projets le besoin d’investir une bonne partie du budget dans de bons disques durs, tant de stockage, de travail et de secours.

Le numérique et l’informatique permettent aussi de ne rien perdre au niveau de l’archivage.
Ainsi, des images tournées sur n’importe quel support et à n’importe quelle époque peuvent être remises au goût du jour, tant qu’elles ont été numérisées.

L’électronique permet une facilité de travailler, notamment avec les stabilisateurs actuels, grâce auxquels les plans deviennent plus lisses et ce, quelles que soient les conditions de tournage dans lesquelles on se trouve.

La réalisation de ce film se fera avec une partie du matériel que je possède déjà, Lumix GH4, stabilisateur mécanique de type Steadycam.

Les besoins sont :
 un stabilisateur électronique, là où une Dolly ainsi qu’une grosse équipe seraient nécessaires, le stabilisateur permet d’une part de limiter les coûts et de travailler en totale indépendance, mais aussi de lisser les travellings, la caméra semblant alors flotter comme si on regardait l’action au travers d’une fenêtre.
 un drone, pour les quelques plans aériens qui nécessiteraient un deuxième hélico ainsi qu’une Cineflex. Le drone nous permettrait, à moindre coût, d’obtenir des images aériennes saisissantes, dans un panorama qui l’est tout autant.
 un enregistreur externe, pour des images encore plus époustouflantes ou le dégradé des bleus entre le ciel et la glace serait plus marqué, et les détails aussi infimes soient ils, vous sautent alors aux yeux.
 de nombreuses batteries, chargeurs et cartes mémoires, afin de travailler toute la journée sans problème de stockage ou d’alimentation avant de rentrer le soir, de refaire le plein et de repartir le lendemain, et ce, même à la volée.
 du matériel d’enregistrement pour le son, car un spectacle son et lumière c’est l’apothéose ! enlevez le premier et ledit spectacle est plat.
Pour un film de qualité, que ça soit pour nos différents plans, les interviews, ou encore l’enregistrement de la voix off, un son de qualité est un besoin capital.
 du matériel de time-lapse et travelling, pour des transitions animées ou la beauté de nos montagnes est illustrée par des poses longues, en mouvement, de jour comme de nuit. Sous le soleil ou sous les étoiles.
 du matériel informatique pour rajeunir nos archives vidéo, permettant une incrustation des rushs même les plus anciens, leur donnant égalité et uniformisation avec les nouveaux.
 des disques durs afin de stocker, protéger, transporter et travailler chaque image que nous allons produire. Le tout avec la sécurité d’avoir à chaque fois des copies en doublon, afin de prévenir tout problème inhérent à l’informatique. L’électronique est la mécanique de ses organes vitaux , nécessaires à là conception du film.

Les contreparties
Vous l’aurez compris, le but de ce film est de vous raconter l’histoire de CMBH.
Les contreparties du financement participatif ont pour but de vous faire vivre l’aventure du tournage. De vous faire découvrir les coulisses de celui-ci.
C’est un projet avec lequel je veux vous emmener au bout du processus, que vous ayez accès et la visibilité sur l’intégralité de la démarche qu’est la réalisation d’un film et de son sujet.

Pour les personnes donnant entre 1 à 9 euros, en plus d’un évident mail vous remerciant, votre nom sera inscrit au générique dans les remerciements.

Pour les personnes donnant entre 10 à 20 euros, en plus de la contrepartie précédente, une carte de remerciement vous sera envoyée.

Pour les personnes donnant entre 30 à 49 euros, les contreparties précédentes ainsi qu’une version du "book" (dossier) qui a servi à la réalisation du film.

Ce book comprend, la version du film imaginé, la description des plans à réaliser ainsi que la liste des intervenants et les questions qui leur sont posées, le découpage du film et annotation nous ayant servies, les photos et croquis nous servant pour des plans très précis.

Pour les personnes donnant entre 50 à 69 euros, les contreparties précédentes ainsi qu’une affiche du film.

Pour les personnes donnant entre 70 à 89 euros, les contreparties précédentes ainsi qu’un DVD du film avec en bonus, un film inédit retraçant le tournage de celui-ci.

Pour les personnes donnant entre 90 à 109 euros, les contreparties précédentes ainsi qu’un tirage d’une des photos prises pendant le tournage par un de nos photographes.
Attention, cette contrepartie est limitée à 100 personnes.

Pour les personnes donnant plus de 110 euros, toutes les contreparties précédentes qui ne sont pas limitées ainsi qu’un livre racontant le tournage, avec des photos, des textes explicatifs et des story-boards des plans les plus complexes ou qui nous ont le plus tenu à cœur.
Attention, cette contrepartie est limitée à 50 personnes.

En plus des contreparties, afin de tous vous intégrer dans les différentes étapes du tournage et de la réalisation du film, un blog ainsi qu’une page Facebook seront créés afin de publier l’actualité du film et vous permettre d’accéder à du contenu inédit.

De plus, afin de remercier les trois plus généreux donateurs, une journée spéciale leur sera proposée : rencontre et déjeuner avec l’équipe, ainsi qu’un vol en double commande d’une durée de 30 minutes, le tout accompagné d’un film, ainsi que des photos de ce moment.

L’envoi des contreparties se fera :
 Dans les semaines suivant la fin du financement participatif pour les cartes de remerciement
 Début d’hiver pour les contreparties (book du film, affiche, DVD, photos et livres)
 En fin du financement participatif pour l’invitation aux trois plus généreux donateurs

Questions/Réponses
Pourquoi Leetchi et non ulule ou Kickstarter ?
Le choix de financer ce film via Leetchi, plutôt que d’autres plateformes de financement participatif, est purement volontaire.
1- Certaines plateformes imposent un montant de don minimum et certaines personnes qui aimeraient aider se retrouvent bloquées, car elles n’ont pas la possibilité de donner ce qu’elles veulent.
Souvent dans un projet, un simple euro peut faire la différence.
2- De plus, la plupart des plateformes prennent une grosse partie des fonds levés, alors que Leetchi ne prend qu’une part modeste, souvent en dessous des autres acteurs du financement participatif.
3- La facilité que permet Leetchi pour créer sa campagne.
Une campagne de financement participatif n’est pas une mince affaire.
C’est un travail énorme, non seulement avant, avec la définition d’un budget réalisable, de la préparation de la campagne et de ce qu’elle amène, mais aussi pendant, car, et c’est là que tout se complique, chaque jour il faut travailler et montrer qu’on est là, que l’on est motivé et que l’on mérite votre attention.
Mais aussi après ! Car même une fois complétée, la campagne n’est pas pour autant arrivée à son terme. Maintenant qu’il est réalisable, il faut désormais travailler sur le projet, prendre le temps de remercier chaque contributeur et tenir les promesses qui leur ont été faites.
4- Si La campagne n’atteint pas son objectif, la somme est quand même reversée à la personne qui l’a créée, chose impossible sur la plupart des plateformes de financement participatif.

J’aide le film à se faire, mais qu’est-ce que j’y gagne ?
L’aide financière n’est pas une chose courante et il est normal de remercier les contributeurs du soutien accordé.
Et hormis la satisfaction personnelle que l’on retire d’avoir aidé un projet que l’on aime, il est plaisant d’avoir quelque chose en retour.
Pour cela j’ai fait une liste des contreparties qui vous seront offertes en fonction du montant que vous avez apporté.

Pourquoi un prix libre ?
Beaucoup de monde aime participer à des projets, mais ils ne sont pas tous capables de s’investir au même niveau.
C’est pour cela que le prix est libre, celui qui ne peut donner qu’un euro peut le faire, et celui qui peut donner plus, également.

Pourquoi j’ai choisi cette équipe ?
Le choix des personnes qui m’accompagnent dans cette aventure est avant tout un choix du cœur.
Ce sont des personnes en qui je crois, pour qui j’éprouve beaucoup d’admiration, tant sur leurs capacités artistiques et à nous émerveiller, que sur leurs qualités humaines.

Quentin a ce don de nous offrir des panoramas, des paysages exceptionnels. Il arrive à capter des moments incroyables où ses sujets, même s’ils deviennent immobiles, immortalisés par l’instant de la photo, nous racontent une histoire dans laquelle on aimerait être acteur.

Antoine, lui, possède cette vision d’un art très graphique. Il compose des œuvres déstabilisantes, en détournant un tout, un rien ; il transforme le réel en irréel...
Il nous fait voyager dans sa tête et son cœur, là où, à chaque instant, à chaque regard sur le monde, il voit comment le transformer.

Julie, représente le côté journalistique du projet.
Au travers de son travail, elle possède cette capacité de synthétiser les idées et de les retransmettre, afin d’étoffer le sujet sur lequel elle travaille.
Avoir une personne comme elle dans l’équipe permet au récit du film de gagner en force, et d’aller à l’essentiel lors de nos interviews.

J’ai composé cette équipe, car bien au-delà de la simple amitié que j’ai à leur offrir, j’aimerais, avec le peu de moyens que j’ai, les mettre dans la lumière.
Ces personnes-là, je les apprécie, car ils ont cette faculté de dire qu’ils ne sont pas bons, que s’ils font de jolies choses c’est grâce aux autres.
Sachez que c’est pure modestie et que s’ils arrivent à nous faire rêver et à réanimer notre âme d’enfant, c’est parce qu’ils sont eux, talentueux, volontaires et surtout passionnés de ce qu’ils font.

Pourquoi un film à deux durées différentes ?
En fonction du budget obtenue, les moyens techniques ne seront pas les mêmes.
Cesdits moyens, pour la plupart, permettront d’approfondir le film en y ajoutant du contenu de qualité. Il en résulte alors un film plus long.

Pourquoi est-ce que le crowdfunding comprend plusieurs budgets différents ?
J’ai imaginé ce film avec plusieurs critères différents. Ce qui donne la possibilité de plusieurs versions, chacune dépendant du budget obtenu.

Quel canal de diffusion pour le film ?
L’ère du numérique et la facilité de trouver des films depuis Internet légalement ou non vont finir par tuer le DVD.
J’ai donc choisi Internet comme canal de diffusion avec deux autres raisons différentes en tête :
1- C’est un moyen de toucher beaucoup plus de personnes, car Internet est un média de masse avec une visibilité dans le monde entier.
2- Que chacun puisse avoir accès à ce film sans débourser le moindre centime.
Le but de ce film est d’expliquer notre histoire et non de la monnayer en la vendant en DVD.

Aidez-moi à réaliser mon projet, devenez l’un des membres de l’équipe, ajoutez vos battements de cœur aux nôtres... Source


27-05-2017 Pour ses 25 ans, Chamonix Mont-Blanc Hélicoptère s’offre un film
Tommy en compagnie de son père Pascal Brun posent devant l'AS 350B3e Lilymarie - Photo DR ledauphine.comTommy a 27 ans soit deux ans de plus que l’entreprise Chamonix Mont-Blanc Hélicoptère (CMBH) créée par son père Pascal Brun. À l’occasion des 25 ans de l’entreprise qui l’a vu grandir, il a un projet personnel. Il a décidé de réaliser un film, pour raconter l’histoire de la société.

Une cagnotte Leetchi pour réaliser son projet.
Pour cela, le jeune homme a lancé mercredi une campagne de financement participatif sur Leetchi. Avec ce site Internet, tou le monde peut contribuer à la création du film en donnant de l’argent (peu importe la somme) pour sa réalisation. (...) Lire la suite sur ledauphine.com

L’hélicoptère, une passion depuis l’enfance
Pascal Brun et son Lama F-GRRB en 1992 - Photo © Philippe FragnolDepuis tout petit, Pascal Brun a toujours été passionné par l’aviation. Déjà à l’école, alors que tous ses copains rêvaient de devenir guides, lui était le pilote de la Sécurité civile qui allait les secourir en montagne. Une fois au lycée à Annecy, il prend des cours de pilotage, puis se tourne vers l’hélicoptère lorsqu’il rejoint l’armée de terre. Après quatre ans et demi, il quitte l’armée et rejoint le SAF (Secours aérien français) grâce à une citation d’Antoine de Saint-Exupéry, qui touchera Roland Fraissinet et qui le prendra sous son aile malgré son manque d’expérience. Pascal Brun sera envoyé à Courchevel, avant de revenir dans sa ville natale, Chamonix, pour reprendre la base afin qu’elle soit ouverte toute l’année. (...) Lire la suite sur ledauphine.com
article 25 ans CMBH par DL 27-05-2017 - Document ledauphine.com

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