Helishare lance l’hélicoptère en propriété partagée

lundi 23 septembre 2013

Avec Mont Blanc Hélicoptères et Swift Copters, elle adapte le concept NetJets.
Inventé aux États-Unis, le concept de l’avion d’affaires en propriété partagée a conquis l’Europe via son leader, NetJets. S’inspirant de ce modèle, Helishare lance en Europe l’hélicoptère en propriété partagée. « Nous ciblons une clientèle qui utilise l’hélicoptère entre 20 et 50 heures par an, pour qui la propriété partagée coûtera 20 à 30 % moins cher que l’acquisition d’un appareil », explique Jean-Marc Sassetti, cofondateur et codirigeant d’Helishare qui dispose de huit bases en France et en Suisse.

Les appareils - EC 130 d’Eurocopter et Bell 429 - sont vendus sous forme de parts de 10 %, ce qui représente un maximum théorique de 10 propriétaires par engin. « On peut devenir copropriétaire en dépensant entre 160.000 et 250 .000 euros, alors que par exemple un Eurocopter EC 130 neuf coûte environ 2,5 millions d’euros et d’occasion entre 1,6 et 2 millions d’euros. Une fois entrés dans le programme Helishare, nos clients ont accès à un quota d’heures de vol facturées à l’heure occupée, c’est-à-dire lorsqu’ils sont à bord. Et les coûts de gestion sont fixes et garantis pendant cinq ans », précise Jean-Marc Sassetti.

Afin de garantir la disponibilité des appareils et d’assurer un ­service 7 jours/7, Helishare s’est associé avec deux compagnies : Swift Copters, qui est à la tête d’une flotte d’hélicoptères VIP, et Mont Blanc Hélicoptères (MBH), un opérateur expérimenté et polyvalent, spécialiste notamment de l’évacuation sanitaire, des missions en haute montagne ou encore de transport public, et dirigé par Renaud Blanc, également cofondateur et codirigeant d’Helishare.

Pas de sous-traitance
Ensemble, les deux compagnies disposent d’un parc de 50 hélicoptères, dont ils assurent la maintenance dans leurs ateliers agréés par les constructeurs, ainsi que de pilotes salariés. « Les hélicoptères des copropriétaires sont mis en gestion chez ces deux compagnies partenaires. Nous ne recourons pas à la sous-traitance que ce soit dans la maintenance ou les pilotes », insiste Jean-Marc Sassetti. (...) Lire la suite sur lefigaro.fr

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